Aux Vieilles Charrues, entrez dans les coulisses de votre journal [en images]

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C’est notre concert à nous. On fait nos balances le matin, plus ou moins tôt selon la nuit passée, autour d’un café et d’œufs brouillés. Le temps pour chacun de proposer ses idées du jour. Treize journalistes à la vidéo, à la photo et à l’écrit, réunis à Carhaix pour vous faire vivre les Vieilles Charrues 2023 de l’intérieur. Avant d’entrer en scène — la nôtre, c’est tout le site de Kerampuilh, vos milliers de gueules et autant de sujets que vous nous inspirez — le midi, il y a barbuq. C’est sacré. Du moins quand la météo le permet. Heureusement, la tireuse installée dans notre jardin ne prend pas l’eau.

Ici, c’est la salle de conférences de presse. On y voit souvent passer des artistes. Lundi 17 juillet, le directeur du festival, Jérôme Tréhorel, y faisait un bilan de ces Vieilles Charrues 2023.
Ici, c’est la salle de conférences de presse. On y voit souvent passer des artistes. Lundi 17 juillet, le directeur du festival, Jérôme Tréhorel, y faisait un bilan de ces Vieilles Charrues 2023. (Le Télégramme/Camille André)

Nos backstages, c’est l’espace presse du festival. On y file en début d’après-midi. Tout le monde sait ce qu’il a à faire. Invisible pour les festivaliers, ce petit village grouille d’autres nous. Chaque média y a un préfabriqué pour bosser, il y a une salle de conférences de presse, un bar, des bénévoles, une partie du staff du festival et des influenceurs. On y croise aussi des stars ! Pierre de Maere et Big Flo et Oli, Phoenix, Skip the Use… Une photo, et ça repart ! Les uns courent d’une scène à l’autre pour capter l’ambiance des concerts avant de la retranscrire. Les autres filment, photographient, interviewent…

Notre journaliste Léo Maillard, localier à Carhaix, interviewe le chanteur Pierre de Maere dans l’espace presse juste après son concert, jeudi 13 juillet.
Notre journaliste Léo Maillard, localier à Carhaix, interviewe le chanteur Pierre de Maere dans l’espace presse juste après son concert, jeudi 13 juillet. (Le Télégramme/Camille André)

Le journalisme en festival, c’est mordant et fédérateur. C’est l’adrénaline, des kilomètres, des fous rires et l’imprévu : un vol de matériel au stand Nikon, des artistes à la bourre qui ne jouent que sept minutes, des couacs de matos ou d’orga. Mais avouons surtout qu’on s’amuse aussi beaucoup. Que l’on tient une place de privilégiés et qu’on le sait bien. Aux Charrues, la puissance des concerts vaut bien la taille de nos cernes. Les shows vus de la fosse, cet espace en pied de scène réservé aux photographes, c’est de l’or. L’accueil que vous nous avez fait aussi. Alors « mersi bras » et bonne nuit. Nous, on file enfin au lit.

La photo est prise depuis la fosse de la scène Glenmor. C’est d’ici que les journalistes peuvent photographier les artistes facilement, positionnés devant le public.
La photo est prise depuis la fosse de la scène Glenmor. C’est d’ici que les journalistes peuvent photographier les artistes facilement, positionnés devant le public. (Le Télégramme/Camille André)

Source : https://www.letelegramme.fr/culture-loisirs/festivals/vieilles-charrues/aux-vieilles-charrues-entrez-dans-les-coulisses-de-votre-journal-en-images-6395807.php

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Date de Publication : 2023-07-18 09:00:02

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